Rust

Le langage qui voulait rendre impossible l'impossible

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T'as déjà entendu qu'on pouvait avoir la vitesse du C... sans les bugs de mémoire ?

Ouais, moi aussi j'ai ri. Jusqu'à ce que Rust débarque.

Début des années 2010.
Le monde du C/C++ règne en maître sur tout ce qui touche à la performance : OS, moteurs 3D, systèmes critiques.

Mais derrière chaque projet, c'est la même galère : segfault, buffer overflow, fuites mémoire... et une migraine permanente pour les devs.

Les bugs de mémoire, c'était pas juste chiant : c'était une question de sécurité.

Genre ton appli peut crasher ou être piratée juste parce que t'as oublié de libérer un pointeur correctement. 🙃

Mozilla s'est dit : "Et si on pouvait garder la puissance... sans la douleur ?"
C'est là qu'est né Rust.

Rust a cassé les règles :

  • Pas de garbage collector lourd comme en Java.
  • Pas de fuite de mémoire comme en C.
  • À la place, un truc révolutionnaire : le borrow checker.

Un système qui, à la compilation, garantit que ta mémoire est propre, sûre, et sans surprise.

Résultat ?

  • Zéro fuite mémoire ✅
  • Zéro crash débile ✅
  • Performances dignes de C++ ✅

En gros, Rust t'oblige à écrire du code sérieux, solide, fiable... même quand t'as la flemme.

Un peu comme un coach hardcore qui t'empêche de bâcler ton travail. 💪

Aujourd'hui, Rust s'impose partout :
En backend (merci Tokio, Actix)
En système embarqué
En blockchain
Même Microsoft et AWS y passent...

Pourquoi ?
Parce que sécurité + perfs, c’est la drogue dure des devs modernes.

Envie d'un langage qui t'apprend la rigueur et qui t'empêche de faire n'importe quoi ?
Apprends Rust. Ou subis-le. 😅

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